Ne pars pas ~ [HP fanfic]

Depuis mon évasion j'étais toujours rester seul et mes nuits me semblaient être faites uniquement de peur, de hurlement et de solitude sans fin. J'étais plus qu'épuisé et pourtant malgré les interdictions qui m'empêchaient de revenir ici , je me trouvais la sur le pas de sa porte. Il vint m'ouvrir sans dire un mot, puis j'allais m'installer sur son canapé en chien de  fusil.
- Moony, vieux frère tu veux bien rester s'il te plaît ???
Je croise un instant son regard inquiet avant de fermer les yeux et de me blottir contre lui. Son corps est si chaud, c'est agréable. Je sens sa main caresser mes long cheveux doucement, avant qu'il ne me réponde doucement :
- Oui Sirius …


Je frissonne pourtant il ne fait pas froid, mais toi tu le sens alors tu prend dans tes bras en me berçant. Tu me demande si je te rappelle de la promesse que je t'avais faite quand nous étions encore à Poudlard, si tu savais comme je me rappelle de cela !!! Je t'avais dit qu'à notre sortie de l'école tu viendrais vivre avec moi, comme sa tu n'aurais plus jamais été seul et moi non plus. On aurait vécu « d'amour et d'eau fraîche » surtout d'amour d’ailleurs. Je voulais qu'on prenne en vacances les enfants qu'auraient eu Lily et James et toi tu voulais qu'on se fasse des repas rien qu'entre nous quatre les Maraudeurs. On était jeune et innocent on s'en foutais de cette putain de guerre à cette époque.


-Tu m'avais même demandé en mariage, Padfoot.
Je ris, premier vrai rire depuis que je suis sortis d'Azkaban sa m'en fais même mal la gorge. Et toi tu ris encore plus en me disant que mon rire ressemble à un aboiement d'un chien. Si tu savais comme te voir rire me réchauffe le cœur, et être avec toi me ferais presque oublier toute ses années d'horreur. Mais rien que dit repenser je me presse contre toi agrippant ta malheureuse chemise que je trempe légèrement de mes larmes.


Sans m'en rendre compte, tu nous a emmener dans ta chambre. Et je me suis laissé guidé lorsque tu m'a allongé sur le lit. J'ai attendu la pendant que tu fermais les rideau et que tu allume le feu dans l’âtre de la cheminé. Je te remercie d'un sourire tandis que j'observe tes yeux qui me fond pensé à de l'or liquide, ils n'ont plus la même lueur qu'autre fois et pourtant j'y reconnaît encore cette amour brûlant. Un sourire amusé se dessine sur tes lèvres lorsque tu t'aperçois que je t'admire comme je ne l'ai encore jamais fait. Tu me rejoins, et tu joins nos lèvres tendrement en me faisant basculer sur le lit.
-Je t'aime , Sirius.
Et entre deux baisers tous plus pressant les un que les autres tu réussis à me souffler au creux de l'oreille.
-Si tu savais comme tu m'a manquer


Même si tu a vieillis je retrouve aisément cette capacité à pouvoir retracé du bout des doigts toutes tes plus ancienne cicatrices que tu déteste tant, même si je sais que dans se genre de moment tu viens à les apprécié. Tes mains elles aussi avide de caresse, parcours mon corps rêche et amaigri. Mais sur chaque endroit ou tes paumes se  pose, je sens ma peau s'enflammer délicieusement et je ne te parle même pas de l'effet de tes lèvres contre les miennes qui me rendent littéralement dingue de toi. Deux corps sont en fusions dans l'envie de ne faire plus qu'un,  tant de nuits j'avais imaginé nos retrouvailles.


Epuisé mais heureux tu me ramène contre toi jalousement comme si tu avais peur que je disparaisse mais dieu seul sait à quel point j'ai moi aussi peur que tu t'évapore et que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve. Par pitié ne me réveillé pas, laissé moi me perdre dans ses illusions dans ce cas la. Alors que je panique lentement ta voix s'élève à nouveau plus douce et tendre que jamais lorsque tu évoque notre premier baiser échanger un lendemain de pleine Lune particulièrement éprouvant pour toi. J'avais vraiment crus te perdre ce jour la, et c'est sans doute cela qui ma fais réalisé que tu était plus qu'un simple ami pour moi. Je revois ton visage rouge écarlate malgré la fatigue, tu était ma Lune j'étais ton ciel étoilé.


Tu me promet que nous aurons d'autre occasion de se revoir, car Peter se fera bien attraper tot ou tard et je serais enfin blanchis du meurtre de James et Lily. Tu ris quand tu me dit qu'une fois cette nouvelle guerre finit, car forcément il y en aura une nouvelle on reprendra notre appart' et que tu aimerais me faire goûter une de tes nouvelles recettes de gâteaux au chocolat. Oh Moony, si seulement j'avais su que jamais je ne goûterais au bonheur de revivre réellement avec toi, ni même celui de voir la fin de cette guerre. Je t'ai demandé de rester avec moi, Remus alors pourquoi suis-je partie en premier ?

J'ouvre les yeux lentement... tout mon corps me brûle et me fais atrocement souffrir. J'ai l'impression d'avoir couru un Marathon sans fin, je déteste me réveillé dans cette état la seule chose que j'aime dans ces moment là c'est te voir à mon chevet tout souriant. Ta main attrape la mienne et tu caresse le dos de celle-ci du bout des doigts et j'esquisse un sourire.

- Bonjour Moony!

Tu es tellement resplendissant Sirius que cela en est presque criminel. Même si tu souris je vois encore au fond de tes yeux bleus la peur encore présente de la pleine Lune. Par moment j'ai l'impression que tu la craint plus que moi, ou bien crains tu peut être plutôt la folie qu'elle réveille en moi.


Les lendemain de pleine Lune nous ne parlons jamais de cette nuit passée, au contraire tu me raconte les petits potins de Poudlard que tu a entendu le matin même dans la Grande Salle ou de la dernière blague que vous compté tester sur les serpents. En riant tu me dit quelles ont été les mésaventures matinale des Maraudeurs, ton rire est contagieux et mes épaules se secouent doucement avant que la douleur ne me ramène à la réalité.


- Reste Sirius, s'il te plait …

Je sais que tu ne peux pas rester éternellement car bientôt l'infirmière va venir stopper les visites et m’emmener à la Cabane Hurlante quand à toi il va falloir que tu aille au dortoir pour que personne ne se doute que toi, James et Peter alliez me rejoindre une fois la Lune lever. Mais tu sais je déteste ces moments où tu est loin de moi, j'aimerais que tu sois là pendant que je me transforme pour que tu me serre fort contre toi durant ces affreuses minutes où je suis encore conscient et que mon corps s'embrase douloureusement. Durant ses instants je ferme les yeux et je t'imagine chanté.


Tu te lève et t'installe sur le bord de mon lit en déposant une petite boite de chocolat sur mes genoux. Tu sais que j'adore sa, et que je me damnerais pour en avoir.  Alors que je commence à ouvrir la boîte, tu me la prends des mains pour prendre un des chocolat et me l'enfourner dans la bouche comme à un gamin. Tes yeux s'illuminent d'un amour profond et sincère tandis que tes doigts redessinent le contour de mes lèvres surs lesquels s’attardent quelques traces rebelle de chocolat. Je mourrais d'amour pour toi lors de ces moments là. J'en viens même à apprécié les lendemain de pleine Lune.


Le réveille est difficile se matin Sirius, je déteste les lendemain de pleine Lune. J'ouvre les yeux lentement... tout mon corps me brûle et me fais atrocement souffrir, aujourd'hui il n'y a plus rien que j'aime voir à mon réveille … James et Lily ne sont plus, Peter est mort et toi … Dit Sirius pourquoi les choses ont-elles finit ainsi ?? Je referme les yeux, je sens mes joues se mouillées je dois sûrement pleurer. Les heures passent toute plus longues les unes que les autres.

- Bonjour Moony

Aaaaah je dois être tombé bien bas pour entendre ta voix aussi clairement, je garde les yeux clos de perdre cette hallucination qui pourtant est la seule chose qui me tienne encore en vie. Je suis certainement devenu fou mais qu'importe que cette douleur m'emporte, que mon cœur lâche du moment que je peux encore entendre ta voix.

- Sirius ne pars pas ...